Ces derniers mois, pour présenter mon nouveau jardin occidental, j'ai fait selon mon naturel : photographier, montrer des plans, prendre des vues — ce que j'appellerai l'approche objective/encyclopédique. Évidemment, ça rate.
Eh bien il m'est venu hier, sans y penser, sans le vouloir une solution bien simple, toute sensible sans prétention à vouloir tout montrer, tout nommer. En fait, pour comprendre et faire sentir l'esprit du jardin et les dilections du jardinier qui l'a créé je recommande seulement de composer un beau jour le bouquet du moment.
Hier soir, 25 juin, c'était celà.
